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UNE ÉVOCATION DU 13ÈME ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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SAVIEZ-VOUS QUE...

La ruelle des Reculettes reliait le 49 de la rue Croulebarbe au 28 de la rue Abel-Hovelacque, ancienne rue de Gentilly. Sa largeur variait de 2 à 7 mètres. Elle était éclairée par des quinquets. Sa suppression fut décidée en 1910 mais celle-ci ne fut totalement effective que dans les années trente...


Les deux molosses en pierre ornant le portail du mobilier national à #Paris13 sont l'œuvre du statuaire André Joseph Géraud Abbal, 1876-1953.
Abbal doit sa renommée à ses sculptures en pierre en taille directe. Il était fils et petit-fils de tailleurs de pierre de Montech (82).


Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! »

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Noté dans la presse...

1912

Sauvons les Gobelins !

Dans la pénurie lamentable des crédits affectés aux beaux arts, le budget des Gobelins est peut-être le plus précaire.

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C'est arrivé dans le 13ème

 Une antipatriote - 1917

Une antipatriote

Le Figaro — 26 janvier 1917

Boulevard de la Gare, mercredi matin, une femme, s'adressant aux ouvrières qui se rendaient aux usines de guerre, essayait de les détourner de leur travail, menaçant et frappant même celles qui ne voulaient pas l'écouter.

Signalée à la police, cette femme a été arrêtée hier matin, au moment où elle s'apprêtait à recommencer. C'est une nommée Renaudat, demeurant rue des Malmaisons.

Elle a été envoyée au Dépôt.


 Les apaches recommencent

Les apaches recommencent

Le Petit-Parisien ― 27 octobre 1915

En rentrant chez lui, avenue de Choisy, la nuit dernière, M. Ernest Rousset, cinquante-trois ans, employé à la boulangerie les hôpitaux, a été assailli par trois inconnus et frappé coups de poing et d'un coup de couteau au côté droit.

A ses cris et à ceux de sa femme, qui, de la fenêtre,  assistait à l'agression, les rodeurs s'enfuirent, emportant le sac à provisions du boulanger.


Faits divers

 Drame de l'alcoolisme - 1903

Drame de l'alcoolisme

Le Gaulois ― 12 mars 1903

M. Auguste Bazin, marchand de vins, établi avenue des Gobelins, voyait entrer, hier soir, Vers onze heures, dans son débit, un individu, qui ne lui parut  pas être dans son état normal.

Ce client se fit servir une consommation et quand il l'eut absorbée tendit M. Bazin une pièce cinq francs démonétisée que le débitant refusa.

Il n'en fallut pas davantage pour que cet individu entrât dans une colère épouvantable ; il se mit invectiver grossièrement le marchand do vins, après quoi, de plus en plus furieux, il saisit une carafe qui se trouvait à sa portée et de toutes ses forces la lança sur M. Bazin. Celui-ci évita le projectile qui, malheureusement, alla atteindre un paisible consommateur.

Ce dernier, un jeune homme de vingt-six ans Louis Thomas, fut grièvement blessé au front.

Tandis qu'on le transportait dans une pharmacie voisine, le forcené s'emparait de plusieurs bouteilles et, sortant de l'établissement, brisait, l'aide de ses armes improvisées, les glaces de la devanture.

Un passant qui rentrait chez lui voulut s'interposer, mal lui en prit, car l'énergumène s'armant d'un couteau l'en frappa à diverses reprises.

Aux cris pousses par la Victime, des agents accourent et après une lutte mouvementée, purent se rendre maitres du meurtrier.

Conduit au commissariat de police, il a déclaré se nommer Georges Morgat, ouvrier terrassier; mais il n'a pas voulu donner son adresse. Au moment de son arrestations cet individu était porteur de deux  revolvers chargés chacun de six balles.

Quant aux deux victimes, elles ont été reconduites, sur leur demande, leur domicile, avenue d'Italie.

A. Magne
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Ailleurs sur Paris-Treizieme

L'ancienne nécropole Saint-Marcel

Une large tranchée est actuellement creusée, pour l'établissement d'une conduite cimentée, sur le trottoir, à l'extrémité du boulevard St-Marcel, près de l'avenue des Gobelins. (1913)

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La reconstitution des Gobelins

On sait que la reconstitution partielle des Gobelins fut entreprise, il y a près de deux ans, sous l'habile direction de MM. Formigé et Jossely.
La façade du nouveau, bâtiment est déjà en partie débarrassée, de ses échafaudages. (1913)

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La passerelle de la Maison-Blanche

Tout un coin du quartier de la Maison-Blanche est en fête : dans quelques jours on inaugurera solennellement la nouvelle et légère passerelle métallique qui, passant au-dessus des voies du chemin de fer de Ceinture, à la Glacière, relie maintenant entre eux deux points jusqu'à présent fort éloignés l'un de l'autre. (1907)

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Une masure s'effondre au « Camp marocain »

À deux pas de la porte d'Italie, dans un grand espace situé rue Bobillot, se trouve une succession de masures misérables qui furent habitées, il y a une vingtaine d'années, par des nomades africains, prompts à jouer du couteau. (1910)

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Menu faits divers

Faits divers

Encore un crime dans le 13ème - 1896

M. Combes, ancien conseiller municipal, dirige une institution de jeunes gens, rue Croulebarbe.

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Mystérieuse affaire - 1887

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La veillée tragique - 1915

Les gardiens de la paix Savineau et Grassi étaient de service hier matin vers cinq heures, rue de Tolbiac, lorsqu'ils virent apparaître, échevelé et les yeux hagards, l'ouvrier cordonnier Hippolyte Delmas

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Le mystère de l'avenue d'Italie - 1899

Un crime dont les mobiles restent encore mystérieux a été commis hier soir, à six heures et demie, au numéro 23 de l'avenue d'Italie, dans une petite boutique habitée par un brocanteur, âgé de soixante-trois ans, nommé Estault.

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Cette jeune femme s'est-elle donné la mort ? - 1925

Les époux Sallandre, demeurant 36, rue des Moulinets, quartier de la Maison-Blanche, ne s'entendaient guère.

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Agression contre un encaisseur - 1912

Un jeune homme de dix-huit ans, M. Louis Hédoux, encaisseur, demeurant rue de la Colonie, passait avant-hier soir avenue d'Italie...

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Sur les bords de la Bièvre - 1874

Il y a entre la place d'Italie et le parc de Montsouris, tout un quartier inconnu plus étranger aux Parisiens, que la Sibérie ou la Chine. Les rues y sont irrégulières, montueuses, peu ou mal pavées, absolument privées de gaz. À peine, la nuit, de distance en distance, la lueur fumeuse d'un antique réverbère, perce-t-elle le brouillard de la Bièvre, qui y roule sinueusement ses eaux puantes et noires.

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L'amoureux a la « guigne » - 1911


Les «Étrangleurs de Croulebarbe» - 1902


Thomas père perd patience - 1913


Une arrestation mouvementée - 1911


Une rafle fructueuse - 1895


Les étrangleurs des Gobelins - 1894


Singuliers dévaliseurs d'Église - 1895


Les étrangleurs des Gobelins - Trois arrestations - 25 & 26 janvier 1895


Les étrangleurs des Gobelins - Le Matin - 29 décembre 1894


Boulevard Kellermann - un livreur est tué et dévalisé par deux rôdeurs - 1934


Mutilé par son amie - 1914


Un Agent parachute - 1894


Inondation boulevard Kellermann - 1901


Une femme tue son amant - 1911


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