Selon le Figaro du 9 septembre 1899, sur les 266 vieilles lanternes à huile destinées à l'éclairage public que comptait encore Paris, 139 étaient allumées tous les soirs autour de la Butte-aux- Cailles.
Le 26 octobre 1923, l'automobile de M. Naudin, conseiller d'Etat, ancien préfet de police, entrait en collision avec un taxi à l'angle de l'avenue des Gobelins et du boulevard Saint-Marcel. Dégats matériels uniquement.
Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! »
sans titre 1
C'est arrivé dans le 13ème
L'affaire de l'avenue de Choisy - 1897
L'affaire de l'avenue de Choisy
Le Rappel — 28 juillet 1897
Un camelot, âgé de dix-huit ans, nommé François Palisse, demeurant 31, rue
Mouffetard, sortait cette nuit du bal de l'Alcazar, avenue de Choisy quand il
fut attaqué par une bande d'individus qui le frappèrent de huit coupe de
couteau.
Le blessé, qui fut transporté à l'hôpital de la Pitié, put dénoncer ses
agresseurs que des agents de la Sûreté recherchèrent.
A la suite de ces recherches, on parvint à arrêter les individus dont les
noms suivent : Louis Champonier, dix-sept ans, rue Clisson ; Louise Guillier,
dite Charlotte, seize ans ; Léon Débris, vingt ans, 75, rue Jeanne-d'Arc, et
André Daviou, seize ans, chiffonnier, 68, rue Clisson.
Tout ce joli monde a été envoyé au Dépôt.
Suicide - 1911
Suicide
Le Matin — 4 octobre 1911
A la station du Métro « Corvisart », M. François Geffroy, vingt-six ans,
palefrenier à la Compagnie des omnibus, demeurant 5, passage Guillaumot, se
précipite sous une rame en marche, qui lui broie le crâne.
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Au moment où le service de statistique municipale constatait avec satisfaction
une décroissance notable de la mortalité dans Paris, une épidémie éclatait dans
un quartier excentrique et y jetait l'effroi. Le quartier contaminé est celui
de la Maison-Blanche, situé dans le treizième arrondissement, sur les bords
de la Bièvre.
Il paraît décidé qu'on conservera pieusement les ruines de la Cour des Comptes,
comme souvenir de 1871. Mais il est un autre monument, également ruiné par la
Commune et dont la vue séduit beaucoup moins : la façade de la manufacture des
Gobelins « provisoirement » remplacée par une construction en platras et une
palissade en planches.
Sur l'emprunt de 900 millions, dont la majeure partie doit servir à exécuter
dans Paris de grands travaux de voirie (ce qui n'exclut pas ceux qui ont été
décidés antérieurement à l'adoption de ce vaste plan de campagne), les quatre
quartiers du treizième arrondissement auront une assez forte part.
Dans la soirée d'hier, vers six heures et demie, une conduite d'eau passant
à la poterne des Peupliers, près du boulevard Kellermann, dans le treizième
arrondissement, s'est rompue brusquement.
Ainsi que nous le faisions pressentir, M. Rousselle, conseiller municipal
du quartier de la Maison-Blanche (treizième arrondissement), président du conseil
municipal de Paris, a succombé hier matin à la maladie qui, depuis un certain
temps, le tenait éloigné de l'Hôtel de Ville.
Le conseil ayant décidé, en 1899, après de lentes et nombreuses études, de
faire procéder à la couverture de la Bièvre « dont les émanations exercent une
influence fâcheuse sur la santé des riverains...
Il faudrait battre longtemps Paris pour y trouver quelqu'un de comparable
à M. Enfert, qui vient de faire bénir, à la Maison-Blanche, une nouvelle œuvre.
Une triste nouvelle nous arrive du front. Eugène Bonneton, le peintre
délicat du vieux Paris, de la Bièvre et des hivers parisiens, vient de s'éteindre
dans une ambulance de l'Argonne.
Au cours de sa dernière session, le Conseil municipal a été unanime à approuver
le projet présenté par le préfet de la Seine relatif à l'assainissement de la
cité Jeanne-d'Arc.