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UNE ÉVOCATION DU 13ÈME ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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SAVIEZ-VOUS QUE...

Initialement, l'avenue des Gobelins devait s'appeler Boulevard Mouffetard.


La rue du Dessous des Berges est située à 20 mètres au dessus des berges.


Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! »

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Noté dans la presse...

1868

Intéressante découverte archéologique sur le chantier du boulevard Saint-Marcel

Les travaux qui s'exécutent dans le quartier Saint-Marcel ont amené des découvertes fort importantes au point de vue archéologique.

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C'est arrivé dans le 13ème

 Une antipatriote - 1917

Une antipatriote

Le Figaro — 26 janvier 1917

Boulevard de la Gare, mercredi matin, une femme, s'adressant aux ouvrières qui se rendaient aux usines de guerre, essayait de les détourner de leur travail, menaçant et frappant même celles qui ne voulaient pas l'écouter.

Signalée à la police, cette femme a été arrêtée hier matin, au moment où elle s'apprêtait à recommencer. C'est une nommée Renaudat, demeurant rue des Malmaisons.

Elle a été envoyée au Dépôt.


 Une journée sanglante - 1895

Une journée sanglante.

Le Matin 25 mars 1895

C’est ainsi qu’on pourrait nommer la journée d’hier, au cours de laquelle il n’a été question que de coups de revolver et de coups de couteau.

Un sujet belge, Mime, se trouvant en état d’ivresse, cherche noise, rue de la Butte-aux-Cailles, à un sieur Beaucheron. Les agents Rostan et Carpentier interviennent. Mime décharge un- revolver sur le groupe et blesse Beaucheron au-bras gauche.

Le meurtrier qui s’enfuyait a pu être arrêté.


Faits divers

 Une bataille sous une porte - 1903

Une bataille sous une porte.

Le Matin — 29 septembre 1903

La pluie qui tombait à verse hier matin forçait, vers onze heures, des passants à se réfugier sous une porte cochère de la rue de Tolbiac. Comme l'attente se prolongeait, la conversation se lia et devint générale. Le temps en forma le sujet. Les uns prétendirent que cette pluie serait utile aux récoltes, les autres soutinrent le contraire.

— La nature, monsieur, est parfois hostile aux hommes, dit sentencieusement quelqu'un.

— Tout nous est hostile en ce moment, reprit un monsieur gravé, tenez c'est comme le ministère, monsieur, le ministère qui… le ministère que…

Ces paroles imprudentes déchaînèrent une discussion violente qui devint bientôt une mêlée générale.

Quand la concierge intervint avec des agents, il y avait déjà deux blessés, une blanchisseuse, Mme Landais, qui avait reçu un coup de pied dans le ventre, et M. Mellot, âgé de vingt ans, qu'on dut conduire à l'hôpital Cochin.

En outre, la malheureuse Mme Landais s'est vu piller le panier de linge qu'elle portait.

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Ailleurs sur Paris-Treizieme

Extension de la Gare du chemin de fer d'Orléans

On a mis récemment à l'enquête un projet d'agrandissement de la Gare du chemin de fer d'Orléans, à Paris, qui consiste à étendre les dépendances de cette gare jusqu'au quai d'Austerlitz, par l'annexion de tout l'emplacement compris entre ce quai, la rue Papin et le boulevard de l'Hôpital. (1862)

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Portrait : Emile Deslandres

Conseiller municipal du quartier Croulebarbe (1925)

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Promenade électorale dans le XIIIè

Le treizième a toujours été la cité des pauvres. Il sue encore la misère avec ses îlots de maisons délabrées… avec la rue du Château-des-Rentiers, ô ironie, avec la Butte-aux-Cailles chère à Louis-Philippe. Et comme la misère va de pair avec la douleur, beaucoup d'hôpitaux, la Salpêtrière, la Pitié, Broca, Péan, des asiles, des refuges. Sur 33.500 électeurs, 28.000 paient de 500 à 1.200 francs de loyer par an. Au prix actuel du gîte, ces chiffres ont une triste éloquence ! On ne s'étonnera pas si le treizième est politiquement très à gauche… et même à l'extrême gauche. (1927)

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Trop de clairons dans le quartier de la Maison-Blanche

Tandis que les chauffeurs ne pourront claironner ou trompeter par les rues de Paris, des escouades de bruiteurs autorisés continueront, embouchure aux lèvres, leur pas accéléré quotidien dans les rues du quartier de la Maison-Blanche en général, boulevard Kellermann en particulier. (1929)

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Faits divers

Un bien triste individu - 1896

Les gardiens de la paix Déom et Métayer étaient de service l'avant-dernière nuit, vers trois heures et demie, dans la rue du Moulin-des-Prés, lorsque les cris « Au secours ! à l'assassin ! » poussés par une voix de femme, retentirent soudain dans la rue Gérard.

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Un coup raté - 1891

L'avant-dernière nuit, vers trois heures du matin, une veuve Bricot, qui tient un garni 112, boulevard de la Gare, entendait tout à coup des cris provenant d'une chambre inoccupée de l'hôtel.

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Le crime de la Cité Jeanne d'Arc - 1907

Un inconnu abordait, hier soir, vers quatre heures trois quarts, dans la rue Nationale, le sous-brigadier des gardiens de la paix Honoré Mariton, du treizième arrondissement, et lui déclarait : Je viens de tuer un homme qui m'avait emmené dans sa chambre, 1, cité Jeanne-d'Arc. Conduisez-moi en prison.

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Le crime de la Cité Jeanne d'Arc - 1907

L'homme qui, la veille, avait étranglé, cité Jeanne-d'Arc, le journalier Jean Guérineau, a consenti à dévoiler enfin son identité.

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Haustrate aux Assises -1907

Le 7 avril dernier, dans l'après-midi, le sous-brigadier Mariton, de service rue Nationale, voyait venir à lui un individu en proie à une violente émotion et qui lui déclara :
— Conduisez-moi au poste, car je viens de tuer un homme qui m'avait emmené dans sa chambre, 1, cité Jeanne-d'Arc.

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Les étrangleurs des Gobelins - 1895

Depuis quelque temps, le quartier des Gobelins était infesté d'individus suspects, gens sans aveu qui, le soir venu, s'attaquaient aux passants, dévalisaient les ivrognes endormis sur les bancs et pratiquaient l'occasion le coup du « père François ».

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Un drame boulevard de l'Hôpital - 1897

Un drame sanglant s'est déroulé, hier soir, vers neuf heures, sur le boulevard de l'Hôpital. Un mari a tué sa femme, puis a tenté ensuite de se suicider, C'est l'éternel et banal drame conjugal.

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Un jeu dangereux - 1897


Un héros de Gaboriau - 1901


Une bande d'aigrefins - 1897


Une singulière hallucination - 1901


Le cochon en ribotte - 1897


Les roulottiers - 1906


Les escroqueries d'une jolie fille - 1897


Drame de la jalousie - 1905


La traite des blanches - 1923


Un meurtre boulevard de la Gare - 1897


Le crime de l'avenue d'Italie - 1897


Attaqué par un lion - 1897


Le crime de la rue des Cordelières - 1879


Un scélérat - 1896


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