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UNE ÉVOCATION DU 13ÈME ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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SAVIEZ-VOUS QUE...

En 1882, un poste-vigie dit encore poste avertisseur, c'est à dire un local où un pompier serait toujours présent afin d'y recevoir la déclaration des personnes venant faire connaître un incendie était installé au numéro 26 de la rue des Cinq-diamants. Chaque poste avertisseur était en communication avec la caserne des pompiers la plus voisine à l'aide d'un télégraphe à cadran


Edmond Gondinet (7 mars 1828, Laurière – 19 novembre 1888, Neuilly-sur-Seine) dont une rue du 13ème arrondissement porte le nom était un auteur de théâtre qui fit jouer sur les scènes parisiennes une quarantaine de pièces.
On lui doit notamment "Le Plus Heureux des trois" en collaboration avec Eugène Labiche.


Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! »

menu-nouveautés Article - inclus

Noté dans la presse...

1858

Un nouveau boulevard pour le 12e arrondissement ?

Cette voie s'ouvrira en face la place de la Collégiale et viendra déboucher sur le boulevard extérieuraprès avoir coupé le faubourg Saint-Jacques.

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C'est arrivé dans le 13ème

 Une bande de voleurs - 1912

Une bande de voleurs

Le Journal — 20 septembre 1912

M. Niclausse, sous-chef de la Sûreté, vient d'arrêter trois individus qui avaient commis, notamment dans le treizième arrondissement, une quantité de vols de bicyclettes, de motocyclettes et d'accessoires d'automobiles.

Le chef de la bande est un nommé Louis-Léon Labbaye, dit Martin, né à Paris en 1874, exerçant parfois la profession de photographe, et qui habitait en garni 46 rue du Moulin-de-la-Pointe,

Ses complices sont Joseph Maniardi, né à Bottola (Italie), en 1870, cordonnier, habitant 51, avenue de Choisy, et Emile-Joseph Nedrecor, né à Paris en 1873, cordonnier, domicilié à Ivry, 51, rue de Choisy.

M. Niclausse a perquisitionné chez les trois voleurs; il a retrouvé quantité d'objets et notamment, chez Nedrecor, une motocyclette qui fut volée en juillet dernier chez M. Chaulange, 19, rue Fagon. Labbaye, qui a déjà subi dix condamnations, a opposé une résistance désespérée lorsqu'on l'a capturé et a tenté de poignarder l'inspecteur Lallemand. Ce bandit, lors d'une de ses arrestations précédentes, en 1911, avait gravement blessé deux agents.


 Un ivrogne blesse à coups de rasoir la fille de sa maîtresse - 1931

Un ivrogne blesse à coups de rasoir la fille de sa maîtresse

Le Petit-Parisien — 6 juillet 1931

Ayant rencontré, l’autre nuit, rue Bourgon une fillette couverte de sang, des passants avertirent l’agent Guillard, du XIIIè arrondissement, qui, aussitôt, conduisit la blessée à la Pitié. La jeune fille qui portait au visage et aux mains des plaies provoquées par des coups de rasoir, déclara se nommer Charlotte Chasselin, âgée de quatorze ans et avoir été frappée par Louis Demayer, amant de sa mère.

Le commissaire de la Maison-Blanche, M. Fauvel, fit aussitôt arrêter Demayer à son domicile, 11, rue Bourgon. Manœuvre, âgé de cinquante-sept ans, celui-ci avoua qu’étant ivre et trouvant la porte de sa maitresse fermée, il l’avait enfoncée. Une querelle ayant aussitôt éclaté entre les deux amants, la jeune Charlotte voulut s’interposer. Demayer s’était aussitôt jeté sur elle, un rasoir à la main et l’avait frappée au visage et aux mains. L’état de la jeune blessée n’est pas grave et elle a pu regagner son domicile.


Faits divers

 Le meurtrier de Gauzy est connu - 1914

Le meurtrier de Gauzy est connu

Il a tiré sur lui au cours d'une discussion d'intérêts et aussi parce que le soldeur lui reprochait d'être un "indicateur" de la police

Le Matin — 5 juin 1914

L'attentat dont fut victime, mardi soir, le soldeur Antoine Gauzy n'est plus mystérieux. On sait aujourd'hui où, comment, pourquoi et par qui fut tiré le coup de revolver mettant en danger la vie de celui qui fut poursuivi comme complice des bandits en auto. Contrairement ce que prétendaient Gauzy lui-même, sa femme, son frère Marius et M. Paul Guignard, le tenancier du café des Trois Marches vertes, c'est dans ce débit que se déroula la scène tragique. Il ne s'agit pas d'une vengeance dictée par la jalousie, mais du geste d'un camarade, quasi-associé de Gauzy, qui a voulu avoir le dernier mot dans une discussion violente où se mêlaient à la fois des questions d'intérêts et des reproches qu'un anarchiste n'admet jamais sans colère.

Le meurtrier du soldeur est connu. C'est un nommé Antonin Mazoyer, âgé de trente ans, né à Nîmes, et par conséquent compatriote de Gauzy. Antonin Mazoyer, qui exerce le métier de camelot et de soldeur, est plus connu sous le sobriquet « le Marseillais ». On ignore où il habite. Depuis mardi, il n'a pas reparu dans les endroits où il a l'habitude de fréquenter. Aussi les recherches faites jusqu'ici pour le découvrir sont-elles restées vaines.

Un témoin du crime se décide à parler

Nous avons reproduit fidèlement hier les sobres déclarations faites par Antoine Gauzy, sa femme, Marius Gauzy et M. Paul Guignard. Les réticences, les contradictions de ces divers témoignages ne pouvaient qu'inciter les policiers à poursuivre leur enquête afin de connaître l'exacte vérité.

Hier matin, M. Boudeau, commissaire de sûreté du 4e district, ainsi que M. Fauvel, secrétaire du commissariat de la Gare, avaient acquis la certitude que Gauzy avait été blessé à l'intérieur du café des Trois Marches vertes et que le chiffonnier Georges Colson avait dit vrai en venant déclarer spontanément que passant rue Nationale, vers 7 heures et demie du soir, il avait perçu le bruit de deux coups de feu tirés dans la salle du café et aperçu presque aussitôt trois individus quitter le débit en courant à toutes jambes.

Les policiers, à l'aide de renseignements recueillis sur les relations du soldeur, établirent que l'agresseur de Gauzy ne pouvait être qu’un certain Antonin Mazoyer, dit le Marseillais.

Bientôt M. Paul Guignard devait venir confirmer et préciser les soupçons de la police. Le tenancier du café des Trois Marches vertes se rendit, hier matin, au commissariat du quartier de la Gare et fit à M. Fauvel cette déclarations :

— Cette fois, je viens dire la vérité. Gauzy a été blessé chez moi, dans mon débit. Il y était venu mardi soir vers sept heures et il y avait retrouvé un de ses amis, Antonin Mazoyer, dit le Marseillais. Les deux hommes s'attablèrent dans un coin de la salle. Deux autres clients devisaient au comptoir avec moi. Tout à coup une bruyante discussion s'éleva entre Gauzy et le Marseillais. Elle dura plusieurs minutes. Finalement le Marseillais sortit un revolver et, par deux fois, fit feu sur Gauzy, Le soldeur, blessé s'affaissa sur une chaise.

» — Surtout que la police ne vienne pas fourrer son nez dans cette affaire me soufflait-il

» Jetant son revolver sur le plancher, le Marseillais quitta aussitôt le débit, suivi des deux clients, qui ne voulaient pas être pris comme témoins de cette scène sanglante. C'est ainsi qu'après avoir entendu du dehors deux détonations, le chiffonnier Colson a pu voir trois hommes sortir furtivement de mon établissement

« Voilà l'arme du crime »

» Sur la demande de Gauzy, je le conduisis à son magasin, rue de Paris, à Ivry. En présence de sa femme et de son frère, il fut convenu que si la police enquêtait, nous fournirions la version que, tous quatre, nous avons donnée hier.

» Agissant sur les recommandations de la victime elle-même ; je fis la leçon, à mon retour rue Nationale, à ma femme et à ma servante. Je ramassai le revolver abandonné par Antonin Mazoyer et le cachai.

» Voici l'arme du crime. Sur les six balles que contient le barillet, deux seulement ont été tirées.

Et, en disant ces mots, M. Paul Guignard remit à M. Fauvel un revolver du calibre de 5 millimètres.

La déposition formelle et précise du propriétaire du café des Trois Marches vertes fut confirmée par sa femme, sa servante, ainsi que par les deux clients, témoins du drame, qui purent être retrouvés.

Gauzy, lui, accuse sans accuser

Un peu avant midi, M. Caill, doyen des juges d'instruction, se transportait à l'hôpital de la Pitié, au chevet d'Antoine Gauzy. Le docteur Paul, médecin légiste, l'accompagnait. L'état du soldeur reste des plus graves. Néanmoins le blessé put être interrogé. Gauzy répéta à M. Caill qu'il ne connaissait pas son agresseur. Mais le magistrat lui fit part des résultats de l'enquête policière et des nouvelles déclarations 'de M. Guignard.

— Vous avez été blessé dans la salle publique du café des Trois Marches vertes, et votre meurtrier n'est autre qu'Antonin Mazoyer, dit le Marseillais, prononça le juge d'instruction.

Les lèvres du soldeur s'agitèrent ; il balbutia quelques mots inintelligibles puis, après avoir hésité, il dit enfin, d'une voix basse, ces simples mots :

— Je crois que vous êtes dans le vrai.

Malgré l'insistance du juge, Gauzy se refusa ensuite à fournir toutes explications. M. Caill, rentré au Palais, désigna M. Corne pour poursuivre l'instruction. Celui-ci signa aussitôt un mandat d'arrêt contre Antonin Mazoyer.

L'association Gauzy-Mazoyer

Une enquête personnelle nous a permis de connaître le motif exact de la discussion qui mit aux prises le soldeur Gauzy et le camelot Antonin Mazoyer.

Tous deux natifs de Nimes, à peu près du même âge, Gauzy et Mazoyer se connaissaient depuis fort longtemps. Peu après sa libération du service militaire, Mazoyer vint à Paris avec sa mère. Celle-ci alla habiter dans un hôtel situé, 6, passage du Génie, dans le quartier du Faubourg-Saint-Antoine. Antonin Mazoyer, qui avait jusqu'ici exercé le métier de tonnelier, travailla chez divers négociants en vins. Mais bientôt il changea de profession et s'improvisa ouvrier peintre. Peu après, il devint camelot, parcourant les marchés et les foires de Paris et de la banlieue, où il est connu sous le surnom du Marseillais.

Antonin Mazoyer, d’idées très avancées, fréquentait assidûment les milieux libertaires où il se retrouvait, d'ailleurs, avec son camarade d'enfance Antoine Gauzy. Souvent les deux hommes travaillaient en association, le Marseillais écoulant sur les marchés des marchandises que lui procurait le soldeur d'Ivry.

Ayant purgé sa peine, Gauzy, comme nous l'avons dit hier, revint, 63, rue de Paris, à Ivry, où il continua son commerce. À partir de ce moment, Antonin Mazoyer devint pour ainsi dire son associé. Gauzv louait une boutique pour un mois, l'approvisionnait en soldes de tous genres et chargeait, Mazover de gérer cette petite succursale. Le « Marseillais », aidé de son amie, Marie C…. originaire de Nîmes elle aussi, s'acquittait avec entrain de cette mission. C'est ainsi que successivement le soldeur d'Ivry installa le Marseillais, avenue de Choisy, à Paris, et à Aubervilliers.

En mars dernier, Gauzy loua, 29 Ms, rue Raspail à Gentilly, un petit magasin où Mazoyer ouvrit un « déballage ». Mais le 17 mars, le commissaire de police faisait une visite inopinée rue Raspail, saisissait toute la marchandise comme paraissant de provenance suspecte et dressait contravention au Marseillais pour « vente illicite au déballage ».

Une instruction fut ouverte à la fois contre Gauzy et Mazoyer pour complicité de vol par recel. Cet incident contraria les rapports amicaux des, deux hommes. L'instruction fut longue. Finalement, voilà quinze jours, un non-lieu fut rendu en faveur des deux amis qu'on autorisa alors à retirer de la Fourrière les marchandises saisies à Gentilly. C'est le Marseillais qui alla annoncer cette heureuse nouvelle à Gauzy.

Le soldeur d'Ivry s'étonna que son ami fut si bien renseigné. Il en conclut promptement que Mazoyer était au mieux avec la police. Qui sait ? Peut-être avait-il lui-même dénoncé l'ouverture du « déballage » de Gentilly ? Mazoyer n'était-il pas auprès de lui pour l'espionner ? Cet anarchiste ne serait-il pas un vulgaire « indicateur » de la police ?

Antoine Gauzy fit part de ses appréhensions à sa -femme, à son frère et décida de rompre avec le Marseillais.

« Je ne suis pas un mouchard »

Dimanche dernier, sans explication, le soldeur mit à la porte de son magasin son quasi-associé. Mardi, Antonin Mazover se trouvait rue de Paris, à Ivry, guettant le passage de Gauzy. Vers six heures, le soldeur, quittant son magasin, se dirigea vers la porte d'Ivry. Le Marseillais le rejoignit. Marchant côte à côte, tout en causant avec animation, ils arrivèrent rue Nationale, devant le café des Trois Marches vertes, où ils pénétrèrent. Mazoyer réclama à Gauzy de l'argent qu'il estimait lui être dû. La discussion s'envenima. Les deux hommes s'accusèrent mutuellement d'être des « faux frères » :

— Tu m'as dénoncé à Gentilly, s'écria Gauzy.

— C'est faux D'ailleurs, moi, je n'ai jamais été soupçonné d'avoir « donné » Bonnot... répondit Mazoyer.

— Tu n’es qu'un mouchard répliqua le soldeur.

— Je ne suis pas un mouchard riposta le Marseillais.

Et, braquant son revolver, il fit feu par deux fois sur Gauzy. On sait le reste.

Le geste d'Antonin Mazover, buveur d'absinthe et d'un caractère des plus violents., n'a point surpris ceux qui le connaissent. Sa mère, qui depuis quelques mois occupe une petite chambre, 1, passage du Génie, a appris avec douleur que son fils était recherché pour avoir voulu tuer Antoine Gauzy.


Le meurtrier de Gauzy reste introuvable

Le Matin — 6 juin 1914

En dépit des recherches de la police, Antonin Mazoyer, dit « le Marseillais », le meurtrier du soldeur Antoine Gauzy, reste introuvable.

Depuis le soir de l'attentat, son passage n'a point été signalé dans les différents endroits qu'il avait l'habitude de fréquenter. Il est probable que le Marseillais aura reçu l'hospitalité discrète d'un camarade habitant la banlieue. Divers renseignements parvenus au quatrième district tendent à laisser supposer qu'Antonin Mazoyer a fui en Belgique ; mais la police est plus disposée à croire qu'il se « terre » bien loin de Paris.

L'état du soldeur Gauzy reste toujours inquiétant.


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L'article paru dans Le Matin du 7 juin

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